Chaos ( French: Chaos: Une Romance Paranormale De Harem Inversé ) - Translation Example 19

————— Original Text —————

Balthazar

What a fucked up day to apply for a library card. The line was wrapped around the building, and every single one of the fuckers had stinky blood. It wasn’t like they took drugs or had an unhealthy diet like I avoided eating. It was almost like they all reeked of sulphur. It stank, and I was getting bad vibes off them. I was about to high tail it out of there because I just didn’t do negative energy, and stinky blood was just about the worst thing you could do to a vampire like me when everyone just up and disappeared.

I was just standing there, alone, like a total asshole. I was about to jump on my Harley and get the fuck out of there. I didn’t sign up for stinky blood and disappearing people. The fucking witch I had been dating turned into a psycho and started stalking me and blowing up my phone. I tried to break things off, and I even did it to her face instead of over text like I wanted. I didn’t even ghost her.

Bitch cursed me anyway.

Witches stuck together. They wouldn’t help you remove a curse without getting the story about why it was placed on you in the first place. Apparently, showing up at your workplace and threatening your female coworkers, and trying to hack into your phone to track you and read your text messages is not a sufficient reason to break up with someone, according to the witches at least. They all sided with my ex and so refused to help me.

I was desperate, so I headed to the Library of the Profane. Now, I had to ask myself if I wanted to keep asking witches for help or if I wanted to risk going in there. Yeah, I was going to nope right out of this property.

Until the doors flung open, and I saw the librarian. Holy shit, she was hot as hell. Why did the sexy ones always have to be witches? They always got me in so much trouble. And this one was a tall, slim drink of water with legs for days, all wrapped up in tight leather.

“Hi! Sorry about all that. Just a little bit of housekeeping. The library is open for business now. What can I help you with?”

“Well, darlin’, I came to apply for a card, but if you’re going to magic the stinky people away before you unlock the front door, I might be having second thoughts.”

“Stinky people?”

“It reeked of sulphur out there.”

“Interesting. You want to come in and apply? I don’t bite.”

I flashed my fangs at her.

“I do.”

————— Translated French Text —————

Balthazar

Quelle journée maudite pour demander une carte de bibliothèque. La file d'attente faisait le tour du bâtiment, et chacun de ces foutus individus dégageait une odeur de sang nauséabonde. Ce n'était pas comme s'ils consommaient des drogues ou avaient une alimentation malsaine que j'évitais. C'était presque comme s'ils empestaient tous le soufre. Ça puait, et je ressentais de mauvaises vibes d'eux. J'étais sur le point de me tirer de là parce que je ne supportais pas les énergies négatives, et l'odeur de sang fétide était presque la pire chose qu'on pouvait infliger à un vampire comme moi lorsque tout le monde s'évapora soudainement.

Je me tenais là, seul, comme un total idiot. J'étais sur le point de sauter sur ma Harley et de foutre le camp. Je n'avais pas signé pour du sang nauséabond et des gens qui disparaissent. La sorcière avec qui je sortais est devenue folle et a commencé à me harceler et à faire exploser mon téléphone. J'avais essayé de rompre, je l'avais même fait en face d'elle au lieu de par texto comme je le voulais. Je ne l'avais même pas ghostée.

La garce m'a quand même maudit.

Les sorcières se soutenaient. Elles ne vous aidaient pas à lever une malédiction sans connaître l'histoire de pourquoi elle avait été placée sur vous en premier lieu. Apparemment, se pointer à votre lieu de travail et menacer vos collègues féminines, essayer de pirater votre téléphone pour vous suivre et lire vos messages n'est pas une raison suffisante pour rompre avec quelqu'un, du moins selon les sorcières. Elles s'étaient toutes rangées du côté de mon ex et avaient donc refusé de m'aider.

J'étais désespéré, alors je me suis dirigé vers la Bibliothèque du Profane. Maintenant, je devais me demander si je voulais continuer à demander de l'aide aux sorcières ou si je voulais prendre le risque d'y entrer. Ouais, je m'apprêtais à déguerpir de là.

Jusqu'à ce que les portes s'ouvrent en grand et que je voie la bibliothécaire. Bon sang, elle était canon. Pourquoi les plus sexy devaient-elles toujours être des sorcières ? Elles me mettaient toujours dans de sales draps. Et celle-ci était longiligne, élégante, avec des jambes interminables, le tout moulé dans du cuir serré.

"Bonjour ! Désolée pour tout ça. Juste un peu de ménage. La bibliothèque est maintenant ouverte. En quoi puis-je vous aider ?"

"Eh bien, ma belle, je suis venu pour demander une carte, mais si vous allez faire disparaître les gens nauséabonds avant d'ouvrir la porte, je pourrais avoir des doutes."

"Des gens nauséabonds ?"

"Ça sentait le soufre dehors."

"Intéressant. Vous voulez entrer et faire votre demande ? Je ne mords pas."

J'ai dévoilé mes crocs devant elle.

"Moi, si."